vendredi 29 janvier 2016

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est très heureux de vous offrir une porte ouverte. 

Et maintenant dansons !



Et exceptionnellement ce sera un slow. Mais c'est Johnny Mathis.

Soyons Peplum !

































Célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée. 

Le Quizz de Nina : le point et les indices.

































Pas d'indice mercredi et pour cause ; nous n'étions pas là mais vous avez tout de même pu comprendre que le Quizz courait toujours. Et c'est tant mieux, ajoutons-nous égoïstement, puisque comme le rappelle l'immortel proverbe inuit : "Quizz pas tombé, nouveau Quizz pas à chercher". 

Que dire sur notre élégante et vos propositions... que parfois vous êtes loin, parfois proche, en tout cas dans le bon hémisphère et occasionnellement dans le bon pays. Celle que nous recherchons n'est plus et nous la pleurons toujours, ce que semble contredire ses très occasionnelles apparitions sur nos pages. 

Mais voici les indices, qui risquent, c'est déjà cela, de résoudre les interrogations géographiques : 

Indices n° 1 :






















Indice n° 2 :






















Tout n'est-il pas à présent clair et limpide ? Non ? Mais si... A vos cellules grises. 

Entre nous...






















Et oui suaves visiteurs, encore une semaine échevelée et c'est Soyons-Suave qui en pâtit. Mais ne pouvant décemment vous laissez sans même une petite dose de suavitude, faisons light mais faisons quelque chose. 

Le Brushing du jour.

































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette sept centième édition, Elizabeth Taylor présente le modèle intitulé "On change tout". 

lundi 25 janvier 2016

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un remède contre la mauvaise haleine. 

Le Quizz de Nina.

































Mais quelle élégance ! Et nous sommes certains que nous pourrions en dire de même pour Nina. Mais ce n'est pas de notre gagnante dont il est question ce soir. 

Parlons peu parlons bien : mais qui se cache donc sous le chapeau et semble fasciné par une conversation ensorcelante ? Nous l’idolâtrons au delà du raisonnable mais cela ne vous donne pas forcément d'indications capitales. Indices mercredi en cas de panne. Un seul nom par réponse et bien entendu, Nina ne joue pas. A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?



























Non, 17 fois Cécile Cassard ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois Sharon Tate dans "La Vallée des poupées", ce sera déjà hautement satisfaisant. 


Il aurait été suave qu'on pense à m'inviter.

































Nous dirions même mieux : il eut été suave que l'on pensât à nous inviter ! 

Et maintenant chantons !



Et posons-nous des questions essentielles !

Pendant ce temps, à Hollywood...

































Joan trouve "Bonjour Madame" vraiment très intéressant...

La fin du Quizz de Dsata


















Parfois, le Quizz, c'est magnifique de précision et de rapidité. Il n'aura donc fallu à Nina qu'une poignée de minutes pour démasquer Martine Carol dans le charmant "Nathalie" de Christian Jaque, tourné en 1957.  Était-ce la robe ? La blondeur ? Le dos velouté ? Peut-être les trois finalement. 

Nina, vous voyez par conséquent votre nom en noir sur gris cette semaine sur Soyons-Suave ce qui fait de vous une terrible concurrente, si l'on en croit vos succès chez notre collègue RoiJoyeux. Suaves visiteurs, craignez Nina, elle est terrible. 


































La question du soir est en fait assez simple : devons-nous vraiment vous parler de Martine Carol ou de "Nathalie" ? Martine est une habituée de nos pages et elle reste une figure incontournable du cinéma français. "Nathalie" est un gentil film bis tourné avec des moyens très réduits en raison de l'échec de "Lola Montes" et de l'ascension de Brigitte Bardot, qui pourtant donnera un souffle, non pas second mais certain à la carrière de Martine. 

Mais tout ceci, vous le savez sans doute. Il y aura donc un "Nathalie" numéro 2, comme il y eut un "Caroline chérie" numéro 2. Pour des raisons évidentes, il n'y eut, par contre, pas de suite à "Lucrèce Borgia", "Nana" ou "Madame du Barry". Puisqu'elles meurent à la fin. 



































Ce qui nous intrigue finalement, est en fait de comprendre pourquoi l'affiche française de "Nathalie" est de loin la plus laide de celles qui furent crées pour la promotion du film, une sorte de terrible photoshop d'avant l'heure où la tête de Martine effectue une rotation très Linda Blair sur les épaules de Michel Piccoli, allusion à une scène, d'ailleurs, qui enverra Martine à l'hôpital. 

Nous craignons de n'avoir jamais la réponse à cette question mais nous travaillons à une éventuelle connexion entre l'affichiste et Renée Faure, que Christian Jaque quitta pour épouser Martine. 
























Malgré un scénario écrit sur un timbre poste et dont tout le monde se moque tant là n'est pas le propos (le propos étant Martine Carol), "Nathalie" nous permet tout de même de nous souvenir qu'une parisienne ne craint pas d'être vue en dessous chics, que Michel Piccoli était vraiment très suave jeune et que Mischa Auer paya ses factures en Europe dans les années 50 après avoir été la coqueluche d'Hollywood dans les années 30. 

Et comme si déjà ce n'était pas assez, "Nathalie" nous permet une bonne fois pour toute de faire la différence entre Amarande Navarre, qui joue ici l'habilleuse Pivoine (mais on ne peut rien dire puisque Martine s'y nomme Nathalie Princesse...) et Amarande tout court, qui régala les amateurs d'Au théâtre ce soir dans les années 70. 























On les prend souvent l'une pour l'autre alors qu'elles n'ont franchement rien à voir l'une avec l'autre, si ce n'est ce délicieux prénom. 

Quant à l'amarante, c'est une plante qu'on cuisine comme des épinards ce qui a encore moins à voir. Et plus aucun rapport avec Martine Carol. 


Le String de la semaine.

Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image. 

































Et cette semaine, notre ami le String, qui a oublié de faire sa cure hivernale de magnésium, est brutalement rappelé à l'ordre par sa vieille ennemie : la crampe au mollet. 

Le Brushing du jour.

































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette six cent quatre vingt dix neuvième édition, Faye Dunaway présente le modèle intitulé "Le Coiffé-attaché". 

C'est lundi !

































Et avant toute chose, saluons un basset hound !

vendredi 22 janvier 2016

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est heureux de vous offrir des petites douceurs.

Connaissez-vous Jean-Michel ?

Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos. 

































Jean-Michel, 31 ans, est, certes, plus grand que sa maman mais sinon, la ressemblance est frappante. 

Et maintenant dansons !



Il était temps de vous faire une révélation un peu personnelle... Déjà posté en 2013 mais on ne s'en lasse pas. 

Soyons Peplum !


















Célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée.

La question du jour : Doris Day est-elle suave en danois ?













Doris est toujours suave.

Que lire ce weekend ?






















Le guide Marabout est votre ami. Il sait tellement de choses...

ABBA présente l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.
























C'était l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.

Le Brushing du jour.

































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette six cent quatre vingt dix huitième édition, BB présente le modèle intitulé "Le Simone Veil". 

mercredi 20 janvier 2016