vendredi 31 juillet 2015

Sharon Stone était l'invitée de la semaine.

































Mais voilà, c'est fini, aussi est-elle un peu mélancolique... 

Une lueur de joie peut cependant être perçue dans son regard puisqu'elle vient d'apprendre qu'elle ne sera remplacée par personne à partir de lundi puisque, nous aussi, partons en vacances. 

Pas d'inquiétude cependant, nous laisserons un Quizz lundi soir qui vous occupera... 2 minutes, si on en croit la vitesse avec laquelle vous avez pourfendu les précédents. 

Suave weekend donc, et à lundi. 




Les vrais hommes portent du rose.

































Soyons-Suave est heureux de s'associer tout l'été au mouvement "Real Men wear pink", sans être vraiment certain de ce que cela signifie en fait. Mais l'essentiel est là : c'est joli ! 

Et maintenant dansons !



Joe Thomas, à qui nous devons le disco du jour, est parfois un peu difficile à suivre, ne serait-ce que parce qu'ils sont quatre jazzmen à porter le même nom et à s'être adonné aux mêmes joies du saxophone. Vérifications faites, notre Joe sortit 9 albums entre 1971 et 1980, comment donc échapper au disco ? 

Après quelques galettes instrumentales, Joe décida qu'il était temps de donner un peu de voix à sa musique et embaucha de charmantes choristes nommées parfois Cissy Houston ou Jocelyn Brown, ce qui montre que cet homme avait du goût. 

Plus surprenant, il décida en 1978 de dédier un de ses morceaux au sulfureux Plato's Retreat, club échangiste de New York qui fut un temps surnommé le "Studio 54 du sexe". Nous vous laissons réfléchir un instant à ce que cela impliquait, le Studio 54 étant déjà réputé pour ses orgies en tout genre. Tombons donc la chemise et le pantalon, et dansons comme si nous devions mourir demain. 


































Et le bonus du jour : l'hallucinante publicité pour le Plato's Retreat qui semble très décalée, au moins au cours des 15 première secondes...

Pendant ce temps, sur une plage...


Le trio du jour.



































Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois palmiers, dont un, franchement dattier. 

Soyons plastique !


Sharon Stone est l'invitée de la semaine.

































Et elle vous dit bonjour.

jeudi 30 juillet 2015

Sharon Stone est l'invitée de la semaine.

































Et elle vous dit bonsoir.

C'est jeudi : sortons dîner !


Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !



Le disco du jour doit normalement vous rappeler quelque chose, non qu'il est toujours bon de commencer sa journée par un agrume mais plutôt l'immense tube de Barry White "It's ecstasy (when you lay down next to me)" dont il est une pure déclinaison. Cela n'empêcha en rien "Le Spank" de devenir l'un des succès de 1978, aidé par les chœurs atmosphériques des Jones Girls, dont nous avons déjà parlé et auxquelles nous avons déjà déclaré notre amour. 

Chose totalement impossible en 1978 : voir "Le Pamplemousse" sur scène puisqu'il fut l'un de ces groupes fantômes n'existant qu'en studio, sous les deux baguettes magiques de Laurin Rinder et W. Michael Lewis, qui furent également derrière de somptueuses supercheries comme "Saint Tropez" (déjà écouté ici-même), "Tuxedo Junction", "Warriors" ou "El Coco". 

Rinder et Lewis étaient si prolifiques qu'ils créaient des groupes dès qu'ils avaient 10 chansons... ou parfois seulement 4 mais de 8 minutes chacune. On embauchait des choristes et on faisait de jolies pochettes. "Le pamplemousse" sortit 7 albums entre 1976 et 1984 et franchement, si ce n'est pas une idée collection, parce que, comme le veut n'importe quel pamplemousse, c'est toujours frais. 



Soyons plastique !


Le trio du jour.






Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois femmes à percussion.

Pendant ce temps, sur une plage...


C'est l'été : soyons délinquants !

































Cette jeunesse, tout de même...

Sharon Stone est l'invitée de la semaine.

































Et elle vous dit bonjour !

mercredi 29 juillet 2015

Sharon Stone est l'invitée de la semaine.

































Et elle vous dit bonsoir.

Le Quizz de l'été volume 4.













Ah ah ! Toute cette eau vous aura donc un peu troublés puisque nous pouvons écrire que le Quizz court toujours. Petit rappel : il ne s'agit ni de "Moby Dick", ni de "His Majesty O'Keefe/Le Roi des Iles" ni des "Robinson suisses". 

Mais alors qu'est-ce donc ? Heureusement, voici trois nouvelles captures pour éclaircir tout cela. 












Mon dieu que tout cela est à présent limpide. Et au cas où, un indice se dissimule, en plus, dans l'une des images. 

A vos cellules grises. 

L'inconnu du mercredi.

On ne les connait pas vraiment mais profitons de l'été pour cultiver notre jardin et découvrir ces jeunes pousses de la suavitude qui feront, peut-être, le monde de demain. 



















Une fois n'est pas coutume, figurez-vous que nous avons eu (indirectement bien sûr, il ne nous a pas appelé personnellement au milieu de la nuit) des nouvelles de Gui Inacio, qui fut en 2013, notre tout premier inconnu du mercredi. 

Petit rappel, brésilien d'origine, Gui était chroniqueur cinéma sur la chaîne de tv TNT tout en exerçant à temps partiel la profession de mannequin, en souhaitant devenir comédien et en s'intéressant vivement à l'avenir de la planète. Peu de temps après notre article, mais sans rapport aucun entre les deux, il était d'ailleurs embauché par Discovery Channel, qui avait brutalement réalisé qu'un présentateur mannequin pouvait apporter un plus à leur programme sur le réchauffement climatique. Les vidéos sont disponibles sont Youtube. 



































Quid donc de Gui depuis deux ans ? Eh bien il semblerait que ses velléités de devenir comédien aient été contrariées et que, se laissant pousser la barbe, il n'ait décidé de se tourner vers une discipline dont nous ignorions tout jusqu'à ce que Wikipédia intervienne : le CrossFit. 

Si nous avons tout compris, (la lecture seule de l'article nous ayant envoyé pendant deux jours au fond du lit perclus de courbatures), le CrossFit est une sorte d'entraînement global mêlant l'haltérophilie, la gymnastique et l'endurance. Il s'agit, en gros, de soulever des choses insensées pendant très longtemps après avoir couru de très grandes distances mais avant de tenir des équilibres encombrés de poids. 
























Gui se présente désormais comme un champion et gourou du CrossFit : il anime des stages, des conférences, organise des camps d'entraînement et vous apprend surtout à manger sainement (des tartines de galettes de riz soufflé par exemple) avant de faire des choses rigolotes (du step sur un pneu de monstertruck par exemple). 

En tout cas il est heureux, il s'est même marié si nous avons tout compris, beaucoup de ses nouvelles étant en brésilien et nos bases de portugais sont assez rudimentaires. Une chose est certaine : sa femme et lui se sont trouvés. Ils sont en pleine forme, assez taquins et toujours prompts à s'amuser devant un objectif. 


































Par contre ils ne sont pas très bons en cache-cache. 

Et maintenant dansons !



Le disco du jour est un peu triste, non qu'il soit arrivé quelque chose de totalement tragique à la charmante Deborah Washington, mais parce qu'il nous rappelle que la vie, parfois, peut être cruelle et paradoxale. 

Deborah Washington était jeune, elle possédait une voix relativement à la mode en cette fin des années 70 et son premier album en 1978 lui permit d'obtenir un hit plus que décent, "Ready or not". Du coup en 1979, elle sortait un second opus, formidable, contenant l'irrésistible "Rock it" qui enchanta sans affoler les foules. Et comme vous pouvez le constater, nous avons un gros faible pour "Take a chance on me" qui n'a rien à voir avec ABBA. 

Deux albums en deux ans, tout pour réussir, sauf une maison de disque qui croyait réellement en elle. En 1980, Ariola lui rendit son contrat et on n'entendit plus jamais parler d'elle. Et tout cela pourrait être fort triste s'il ne restait les deux albums en question, absolument irrésistibles et qu'on continue de trouver très facilement pour moins que le prix d'un nouveau roulement à billes pour vos rollers. 



Le trio du jour.



































Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois hommes à califourchon.

Pendant ce temps, sur une plage...


Soyons plastique !


Sharon Stone est l'invitée de la semaine.

































Et elle vous dit bonjour.

mardi 28 juillet 2015

Sharon Stone est l'invitée de la semaine.

































Et elle vous dit bonsoir.

C'est mardi : sortons dîner !


































Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir !

Et maintenant dansons !



Disons immédiatement les choses telles qu'elles sont : Leonore O'Malley fut les Milli Vanilli avant les Milli Vanilli, puisqu'elle sortit entre 1979 et 1981 deux albums sur lesquels elle ne chantait pratiquement pas une seule note, "remplacée" par Catherine Russell, chanteuse de studio créditée comme choriste principale sur les deux dits albums. 

Leonore était photogénique, sans voix, elle avait cependant une grande capacité pulmonaire et cela suffit à ses producteurs, français, responsables du succès plus légitime celui-ci de Madleen Kane. Comble de la provocation, "First be a woman", tout de même très inspiré par "I will survive", sera repris par Gloria Gaynor, qui chanta donc un hommage à sa propre chanson, elle-même très inspirée par la bande originale de "Dernier Domicile connu" composée par François de Roubaix. 

Et Leonore ? Aucune idée de ce qu'il advint d'elle après 1982. Mais avant tout, elle sut être une femme. C'est sûr.